Eternel
Quand je ne sens plus que la haine ou la peine,
Quand mon existence est liée par des chaînes,
L’envie d’en finir s’empare de moi, vers le trépas,
Et dans ces cas là, la vie peut me sembler sans loi…
Et mes appels s’élèvent vers le ciel,
Fruits d’une pulsion soudaine ;
A ceux des autres sans bruit ils se mêlent,
Pourtant l’espoir me traîne !
Eternel, Eternel…
Tu sais que la foi seule me permet de vivre,
Et qu’au fond de moi le bonheur vrai m’enivre ;
Celui que tu permets de sentir, à qui le veut.
Tu consoles nos pleurs et nous permets de vivre heureux !